samedi, 12 mai 2007
Le MODEM
Avec F. BAYROU un nouvel espoir est né,
un nouveau parti pour porter cet espoir,
08:10 Écrit par Alain DUCHESNE | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : udf, ps, ump, politique, bayrou, pévèle, pévèlois
vendredi, 04 mai 2007
Un nouveau parti, un espoir,
Une nouvelle ère politique vient de naître,
François BAYROU
vient de créer notre nouveau parti :
Mouvement démocrate
C’est un nouvel espoir politique pour nous tous, déjà la majeure partie des français regrette leur choix , selon le baromètre FIGMAG/TNS SOFRES de mai 2007, 65% des Français souhaitent que François Bayrou joue un rôle important dans les mois et les années à venir ! les Français sont 10% de plus qu'en avril 2007 à vouloir que François Bayrou joue un rôle important dans les années à venir. Ce souhait est partagé à égalité entre les gens de sensibilité de gauche et de droite. François Bayrou arrive largement en tête devant Nicolas Sarkozy ( 56% ) et Ségolène Royal ( 52% ).
23:05 Écrit par Alain DUCHESNE | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : udf, ps, ump, politique, bayrou, pévèle, pévèlois
Ecologie à Tourmignies
Alain DUCHESNE, Maire de Tourmignies,
et
Sandrine VANCOILLIE, Présidente de l’Association COLCHIQUE
Vous invitent à une matinée écologique
(ramassage des détritus dans le village)
Le samedi 5 mai 2007de 9 H à 12 H
(le rendez vous est fixé sur la place)
avec la participation des élèves de l’Ecole
Jean de la Fontaine
A l’issu de la manifestation, la Municipalité a le plaisir de vous convier
à partager le verre de l'amitié
08:32 Écrit par Alain DUCHESNE dans Mot du Maire et informations municipales | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Tourmignies, pévèle, pévèlois, village, écologie
jeudi, 26 avril 2007
Bayrou veut rester "central" dans l'entre-deux tours et après
PARIS (AFP) - François Bayrou a refusé mercredi de choisir entre les deux finalistes de la présidentielle, même s'il a attaqué avec virulence Nicolas Sarkozy, et il s'est efforcé de rester au coeur du débat de l'entre-deux tours, en acceptant le dialogue avec Ségolène Royal.
Pour faire vivre la "force nouvelle" née de ses 18,57% de voix, le président de l'UDF, troisième le 22 avril, a annoncé la création d'un "parti démocrate", qui sera présent partout aux législatives de juin. Loin de toute "soumission" ou de tout "ralliement", ce "parti central" ira "loin vers le centre-gauche" et "ira aussi vers le centre-droit".
Devant plusieurs centaines de journalistes réunis dans un hôtel parisien, M. Bayrou a affirmé que le candidat UMP allait "aggraver les problèmes de la démocratie" et "du tissu social", et Ségolène Royal "les problèmes de l'économie", tous deux allant "déséquilibrer le déficit et la dette".
"Je ne donnerai pas de consigne de vote", a dit M. Bayrou. Un choix "définitif", a-t-il précisé ultérieurement sur France 2.
Mais, en "homme d'ouverture", il a accepté "sans arrière-pensée", l'invitation au "dialogue" de la candidate PS.
S'en est suivi un tortueux dialogue à distance sur les conditions du débat. Mme Royal a proposé au leader centriste de venir avec elle à un forum de la presse régionale vendredi. Mais le député béarnais veut un débat télévisé et a dit oui à une proposition de France 2.
Pas d'accord, a répondu la socialiste sur la même chaîne, se bornant à accepter que le débat de la PQR soit filmé.
M. Bayrou s'était également dit prêt à débattre avec le candidat UMP, si celui-ci le proposait. Mais Nicolas Sarkozy a écarté l'hypothèse et a reproché à M. Bayrou de "s'abstenir de faire un choix" pour le second tour.
Alors que Ségolène Royal avait évoqué la possibilité de ministres centristes en cas d'entente avec l'ex-candidat UDF, celui-ci a jugé "absolument impossible, dans la situation actuelle", d'entrer dans un futur gouvernement, socialiste ou UMP.
Sûr de lui, enjoué, M. Bayrou s'est dit, lors de sa conférence de presse, en "grave contradiction" avec Mme Royal sur des points de programme, notamment l'idée d'un "Etat faisant tout". Mais il a réservé ses critiques les plus dures à l'ex-ministre de l'Intérieur.
Voyant des "ressemblances" entre ce dernier et l'Italien Silvio Berlusconi, le leader centriste est allé jusqu'à fustiger un "goût de l'intimidation et de la menace" chez le candidat UMP, accusé de vouloir "concentrer les pouvoirs comme jamais ils ne l'ont été".
Alors qu'une dizaine de parlementaires UDF (sur 72) ont annoncé leur soutien à M. Sarkozy à qui des sources UMP ont prêté l'intention de favoriser la création d'un nouveau parti de centre-droit, François Bayrou s'est indigné de "cette manière de multiplier, par pressions, des débauchages individuels et de prétendre fabriquer de faux partis".
Que votera-t-il le 6 mai ? "A l'heure qu'il est, je ne sais pas ce que je ferai. Mais je commence à savoir ce que je ne ferai pas", a-t-il dit, laissant clairement entendre qu'il ne voterait pas Sarkozy.
Mais il pourra révéler son choix personnel, "en fonction de l'évolution de cette campagne électorale", a-t-il confié sur France 2.
08:13 Écrit par Alain DUCHESNE | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : udf, ps, ump, politique, bayrou, pévèle, pévèlois